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Il suffit d’un coup de fourchette pour comprendre. Ça file, ça fond, ça parfume toute la pièce. L’aligot, c’est bien plus qu’une purée : c’est une expérience sensorielle venue tout droit de l’Aubrac.
Une purée ? Non, une institution
Ne confondez pas. L’aligot, ce n’est pas une simple purée de pommes de terre. C’est un mélange divin de pommes de terre, de tome fraîche de l’Aubrac, de crème, de beurre… et d’amour du terroir.
Quand on le sert, ça file comme une toile de mozzarella. Mais c’est du fromage bien d’ici, avec du goût, du vrai. Et ça accroche la cuillère comme un bon souvenir d’enfance.
Autrefois plat de moine, devenu star des fêtes de village, l’aligot se déguste souvent avec une saucisse grillée ou une viande fondante. Mais même seul, il met tout le monde d’accord.
Pourquoi on en devient accro
D’abord, cette texture : ni liquide, ni compacte. Juste parfaitement filante. Ensuite, ce goût. Intense, crémeux, profond. Le fromage fond sans jamais dominer. L’équilibre est parfait.
Et surtout… c’est un plat qui rassemble. On le sert chaud, en grande marmite, à partager autour de la table. L’aligot, c’est de la convivialité dans l’assiette.
Une bouchée, et on y revient. Encore. Et encore. C’est presque magique.
Vous l’avez déjà goûté ?
Si oui, vous savez. Si non, foncez. Allez-y pour de vrai, dans l’Aubrac si possible. Ou testez une recette maison. Mais attention : une fois que vous y avez goûté, difficile de s’en passer.
Partagez cet article avec les amoureux du fromage… ou ceux qui ne savent pas encore qu’ils le sont !
